2ème table - Quelques images de tableaux classiques exposés au musée du Louvre à Paris.
François-André VINCENT. Paris, 1746 - Paris, 1816. Zeuxis et les filles de Crotone, 1789. D'après Cicéron, le peintre grec Zeuxis choisit cinq jeunes filels pour créer un type de beauté idéale, dans son oeuvre fameuse, Hélène (disparue). L'auteur développe ici un néo-clacissisme plein de charme, dans la suite de Vien, tout en manifestant un souci de vérité archéologique qui le rapproche de David. Galeries du Musée du Louvre/Paris
Les Trois Grâces. Tableau révélateur du goût pour l'Antiquité à la mode au XVIIIe siècle français.
Elisabeth-Louise VIGÉE-LE BRUN (1755-1842)
Madame Vigée-Le Brun et sa fille, Jeanne-Lucie, (1786)
Hubert ROBERT - Paris, 1733-1808, Projet d'aménagement de la Grande Galerie du Louvre. 1796. Nommé en 1784 Garde du Muséum (le Louvre), l'artiste a laissé de nombreuses vues, réelles ou inventées, du musée en cours d'amménagement. Il a imaginé la Grande Gallerie telle qu'on la découvre aujourd'hui, avec sa segmentation en travée et son éclairage zénithal.
Jean-Baptiste GREUZE - Tournus, 1725 - Paris, 1805. Le Fils puni. 1778. Second épisode de la malédiction paternelle, le fils retourne auprès des siens, au moment de la mort du père. Ces deux "chefs d'oeuvre du pathétique sublime" (Paillet, 1785) où Greuze tente de retrouver la rigueur d'un Poussin, haussent la peinture de genre à la dignité du "grand gout".
Louis-Michel VAN LOO. Toulon, 1707 - Paris 1771. Portrait du Marquis et sa femme. 1769. Frère cadet de la marquise de Pompadour, Marigny (1721-1781) fut le directeur des Bâtiments de Louis XV et 1751 à 1773. Il est représenté avec sa jeune épouse de dix-huit ans, née Julie Filleul (1751-1882), deux années après leur mariage.
Pierre SUBLEYRAS - Le repas chez Simon - 1737, Tableau comandé par les chanoines du Latran pour leur couvent d'Asti.
Jean-François de TROY. Paris, 1769 - Rome, 1752. Un déjeuner de chasse, 1737. Comme son pendant, la mort d'un cerf (disparu), cette oeuvre qui reflète le bonheur de vivre d'une société mondaine a été peint pour la salle à manger des petis appartements du roi de Fontainebleau où il voisinait avec la Halte de chasse de C. Vannloo et la Halte de Grenadiers de la Maison du roi de Charles Parrocel (Louvre).
François BOUCHER. Paris, 1703 - 1770. Diane sortant du bain, 1742. La déesse Diane se repose après la chasse, servie par une nymphe pour sa toilette rituelle. Sous couvert de sujet mythologique, ce tableau est un hymne au corps féminin. Le raffinement du déssin, les chairs rayonnantes, la touche moëlleuse et le coloris lumineux attestent la maturité de l'artiste.
Charles-André, dit Carle VANLOO. Nice, 1705 - Paris, 1765. Halte de chasse, 1737. Ce tableau galant, au cadre inspiré des paysagistes flamands de XVII siècle, a été peint pour la salle à manger des petis appartements de Louis XV à Fontainebleau. La légende voudrait y reconnaître le roi, entouré des trois soeurs de Nesle, qui furent ses maîtresses.
Hyacinthe RIGAUD. Perpignan, 1659 - Paris, 1743. Louis XIV (1638-1715) 1701. Commandé pour être offert au roi d'espagne Philippe V, ce portrait plut tant à la Cour qu'il resta en France. Chaque détail du tableau concourt a en faire l'immage quintessenciée du pouvoir absolu: noblesse du décor antiquisant, rideau de pourpre, solenité du Roi-Soleil, vêtu du costume de sacre fleur-de-lysé.
COYPEL Noel, (1628-1707) - Trajan donnant les audiences publiques
Adam Frans VAN DER MEULEN. Bruxelles, 1632 - Paris, 1690. Arrivée de Louis XIV au camp devant Maastricht. En Juin 1763, Louis XIV - ici sur son cheval blanc - s'empara de Maastricht, alors possession espagnole aux Pays-Bas. Le tableau fait partie de l'ensemble des conquêtes du roi, quatorze grandes toiles destinées au Pavillon royal de Marly (disparu).
Georges de LA TOUR. Vic-sur-Seille, 1593 - Lunéville, 1652. Le Tricheur. Seul La Tour diurne du Louvre avec le Saint Thomas, Le Tricheur illustre un thème fréquemment traité à la suite du Caravage. Le jeune homme est ici soumis aux trois tentations majeurs selon la morale du XVII siècle: le jeu, le vin, la luxure. Il en existe une autre version comportant des variantes notables, Le Tricheur à l`as de trèfle (Fort Worth, Kimbell Art Museum).
Laurent de la HIRE, 1642 - Vierge à l'enfant
Jean CLOUET vers 1480 à 1540-1541. Portrait de François Ier, roi de France (1497-1547). Fils de Charles d'Angoulème et de Louise de Savoie, cousin du roi Louis XII, à qui il succéda sur le trône en 1515. François Ier porte le collier de l'ordre de Saint-Michel dont il était grand maître. Le visage correspond exactement à un dessin de Jean Clouet (Chantilly, musée Condée); la monumentalité et la plasticité du buste, l'importance des mains posées sur le gant et l'épée déterminent la modernité de ce portrait, qu'il faut sans doute dater des alentours de 1527-1530.
Leonardo da Vinci - Mona Lisa
Eugène DELACROIX. Charenton-Saint-Maurice, 1798 - Paris, 1863. Bataille de Poitiers, 1830. Commandé par la duchesse de Berry, ce tableau épique relate un épisode de la guerre de Cent Ans. La 19 Septembre 1356, Jean le Bon, que son jeune fils Philippe de Hardi tente de protéger dans ce combat acharné, est vaincu par l'armée du Prince Noir.
La grande odalisque, 1814. Un des tableaux le plus connu d'Ingres
Jacques-Louis David (1748-1825), Le Sacre de l'empereur Napoléon 1er, 1806
Jacques Louis DAVID, (1748 - 1825) - l'enlèvement des Sabines
Marguerite GERARD. Grasse, 1761 - Paris, 1804. La mauvaise nouvelle, 1804. Présenté au salon de 1804 avec pour pendant, La bonne nouvelle, ce tableau est représentatif des oeuvres de l'artiste: scènes de genre sentimentales, de petit format, aux thèmes et à la technique méticuleuse empruntés aux maîtres hollandais du XVII siècle, comme Ter Borch ou Mtsu.
LEBRUN Elisabeth, Louise Vigée - Peint (1755-1842) par elle même
Horace VERNET. Paris, 1789 - Paris, 1863. La Barrière de Clichy, 1820. Célèbre pour ses tableaux militaires, l'artiste décrit ici la défense de Paris, le 30 mars 1814. Au centre, le maréchal Moncey donne ses ordre à l'orfèvre Claude Odiot, colonel de la garde nationale, pour qui a été peinte l'oeuvre. Les détail réalistes, comme les deux blessés du premiers plan, en assurent le succès populaire.
Jacques Louis DAVID - Mme Emilie Sériziat et son fils
François BOUCHER. Paris, 1703-1770. L'odalisque. Un délicieux exotisme de boudoir règne dans cette immage qui pourrait représenter Madame Boucher. Le spectacle impudique du corps abandonné au désordre des étoffes confère un caractère délibérément licencieux à ce tableau dont il extste à Munich une Odalisque blonde d'espoir voisin.
Horace Vernet. Paris, 1789- Paris, 1863. Portrait de Louise Vernet, fille de l'artiste.
Louis LAGRENEE, dit l'Aîné - Paris1 1725 - 1805. Alexandre interrompt ses expéditions militaires pour se recueillir devant le corps de la femme de Darius et consoler sa famille éplorée. Dans ce tableau peint pour Louis XVI, l'artiste s'est inspiré de l'Histoire ancienne de Rollin et de la série des Triomphes d'Alexandre de Le Brun.
Jean Baptiste GUEUZE - La Laitière - Tournus,1725 - Paris 1805. Ce tableau illustre un des thèmes les plus prisés des contemporains de l'artiste, celui des jeunes filles languides, oscillant entre pudeur et sensualité.
Elisabeth-Louise VIGEE-LE BRUN. Paris, 1755 - Paris, 1842. LA comtesse Skavronskaia, 1796. L'artiste fuyant la Révolution en 1789, voyagea alors en Europe. Elle sejourna en Russie de 1795 à 1801, peignant les nobles de Saint-Pétesbourg, dont cette comtesse, dame d'honneur de Catherine II nièce et maîtresse de potemkine.
Baron François GERARD. Rome, 1770 - Paris, 1837. Madame Regnault de Saint-Jean-d'Angely, 1798. Le modéle, née Laure de Bonneuil (1775-1857), fut l'épouse d'un homme politique, futur conseiller d'état sous le Consulat. Les lignes orthogonales contrastent avec les courbes de la figure, d'une élégance florentine que recherchera bientôt Ingres.
Marie-Guillemine BENOIST. Paris, 1768 - Paris, 1826. Portrait d'une femme noire. Salon de 1800 (Portrait d'une négresse). Ce portrait représentait une domestique ramenée des îles par le beau-frère de l'artiste. l'attitude du modèle, le fond discret, la sobriété efficace du graphisme du coloris renvoient à la leçon de David, qui fut le maître de Madame Benoîst.
Baron François GERARD. Rome, 1770 - Paris, 1837. Madame Barbier-Walbonne, 1796. Marie-Philipe-Claude Walbonne (1763 - avant 1837) fut la première épouse de peintre Barbier-Walbonne, ami de l'artiste. Venant d'une fenêtre au fond du tableau, voilée par un rideau, la lumière tombe sur le livret les buste du modèle dont le visage est illuminé par un reflet saisissant, à la manière de certains Hollandais.
Jean-Auguste-Dominique. INGRES. Montauban, 1780 - Paris, 1867. La Baigneuse, dite Baigneuse Valpinçon, 1808. Connue sous le nom Valpinçon, un de ses anciens possesseurs, cette Baigneuse constitua, en 1808, l'"envoi de Rome" à Paris de l'artiste, alors Pensionnaire à l'Académie de France. Elle marque, chez Ingres, le point de départ d'une fameuse série de nus féminins.
Jean-Auguste-Dominique. INGRES. Montauban, 1780 - Paris, 1867. Le Bain Turc, 1862. A cinquante ans d'intervalle, Ingres reprend le nu de dos de la Baigneuse Valpinçon. Après La Grande Odalisque (Louvre, salle Denon) et d'autres nus célèbres, cette oeuvre marque l'aboutissement des recherches de l'artiste sur le corps féminin et l'exotisme ottoman.
Claude GILLOT, Langres, 1673 - Paris, 1722. Le tombeau de Maître André. Vers 1716-1717. Cette scène, extraite d'une farce de Brugière de Barante, Le tombeau de Maître André, créée au théatre italien en 1695, s'inspire d'une fable de La Fontaine, l'huître et les deux plaideurs. Mezzetin et Scaramouche se disputent une bouteille. Pris pour arbitre, Arlequin en profite pour boire le vin.
Claude GILLOT. Langres, 1673 - Paris, 1722. Les deux carrosses. Vers 1707. Le théâtre de foire et la Commedia dell'arte furent l'un des thèmes favoris de Gillot. Inspiré d'un fait divers, cette scène humoristique fut ajouté à la pièce de Regnard et Dufresny, La foire Saint-Germain, créée en 1695. Scaramouche et Arlequin, déguisés, s'apostrophent avec une véhémence caricaturele.
Jean-Siméon CHARDIN.Paris, 1699 - Paris, 1779. Le Jeune déssinateur 1737. Ce tableau fut exposé au salon de 1738, avec pour pendant une jeune ouvrière en tapisserie (disparu). Le jeune garçon évoque les figures immobiles et graves de Vermeer à qui on a souvent comparé Chardin, notamment dans ses recherches de matière.
François BOUCHER. Paris, 1703 - Paris, 1770. Le déjeuner 1739. Dans ce morceau d'heureuse intimité domestique, on a cru reconnaître la famille de l'artiste. Précieux document sur l'art de vivre de l'époque de Louis XV, le tableau montre un intérieur rocaille (appliques, cartel aux formes compliqués, exotique magot chinois), où l'on sacrifie à la mode du café.
Jean JOUVENET. Rouen, 1644 - Paris, 1717. La Réssurrection de Lazare, 1706. Le sujet est raconté dans l'Evangile selon saint Jean (II,38-44): Marthe et Marie, les deux souers de Lazare mort depuis quatre jours, étaient venues se prosterner devant le Christ. Amené devant de sépulcre, celui-ci cria d'une voix forte: "Lazare, sours!", et le mort se leva, les pieds et les mains liés et le visage couvert d'un suaire.
Pierre SUBLEYRAS. Saint Gilles du Gard, 1699 - Rome, 1749. L'Absolution de Théodose. Vers 1745. Rappel historique de la suprémacie de l'Eglise sur le pouvoir séculier, ce tableau évoque le pardon accordé par saint Amboise, archevêque de Milan, à l'empereur Théodose (379-394) qui se repent d'avoir fait massacrer les habitants de Thessalonique.
Pierre SUBEYRAS. Saint-Gilles du Gard, 1699 - Rome, 1749. Saint Benoît ressuscite un enfant. Vers 1744. Cette esquisse et son pendant, l'absolution de Théodose, sont les études pour deux tableaux d'autel (aujourd'hui à Rome, église Sainte- Françoise-Romaine et musée de Pérouse) peints pour l'église des Olivétains de Pérouse.
François BOUCHER. Paris, 1703 - Paris, 1770. L'enlèvement d'Europe, 1747. Boucher executa ce tableau pour le Concours de 1747, organisé entre les peintres de l'Académie par la Direction des Bâtiments. Le sujet est inspiré des Métamorphoses d'Ovide: Jupiter a pris la forme d'un taureau blanc pour séduire Europe, qu'il va enlever sur son dos.
François BOUCHER. Paris, 1703 - Paris, 1770. Les présents du berger ou le nid. Vers 1740. A l'origine de forle chantournée, ce tableau a été transformé à la fin du XVIIIème siècle pour faire pendant aux Charmes de la vie champêtre (Louvre). Avec ses moutons savonnés et ses bergères d'opéra, l'oeuvre est caractéristique des pastorales idylliques de Boucher.
Jean-Baptiste GREUSE. Tournus, 1725 - Paris, 1805. La cruche cassée, 1771. Cette jeune fille au regard triste, dont la tenue en désordre laisse entrevoir un sein, est une allegorie de la virginité perdue, sentimentale et sensuelle. La figure se détachant devant une fontaine à l'antique évoque les gracieuses athéniennes de Joseph-Marie VIEN, propagateur du premier néo-classicisme.
Elisabeth-Louise VIGEE-LE-BRUN. Paris, 1755 - Paris, 1842. Madame Molé-Raymond, 1786. Cette image d'une actrice de la Comédie italienne ilustre la virtuosité de l'artiste dans le rendu des matières (les étoffes, le manchon). Ses portraits élégants furent prisés par la haute société européenne et la désignèrent en 1779 comme peintre de Marie-Antoinette.
Louis GAUFFIER. Poitiers, 1762 - Livourne, 1801. Jacob venant trouver les filles de Laban, 1787. Réalisé lorsdu séjour de l'artiste à l'académie de France à Rome, ce tableau illustre l'originalité de Gauffier dans le concert néo-classique; il témoigne de son intérêt pour le paysage et traduit l'influence des maîtres français du XVIIème siècle, comme Poussin.
Baron Antoine-Jean GROS. Paris, 1771 - Meudon, 1835. Bonaparte au pont d'Arcole, 1796. Etude pour le célèbre tableau exécuté à Milan en 1796 (Château de Versailles), ce portrait fut peint lors de quelques séances de pose, obtenus par joséphine. Le 17 novembre 1796, Bonaparte entraîne ses troupes dans la bataille d'Arcole, gagnée en trois jours. Il est ici saisi dans l'élan et la tension de son acte, avec une fugue déjà romantique .
Joseph-Benoît SUVEE. Bruges, 1743 - Rome, 1807. Cornélie, mère des Gracques, 1795. Une dame de compagnie rend visite à Cornélie et étale devant elle ses bijoux. Invitée à montrer les siens, Cornélie désigne ses enfants: "Voici mes richesses et mes plus beaux ornements". Exemple de vertu maternelle, le sujet est traité dans un style volontairement archaïsant, qui ouvre la voie au primitivisme.
Jacques-Louis DAVID. Paris, 1748 - Bruxelles, 1825. Bélisaire demandant l'aumône, 1784. Tris ans avant le seramnt de Horaces (salle Milien), David revenu de Rome, débuta au Salon de 1781 avec le grand tableau de ce sujet (musée de Lille). Il executa peu après pour le comte d'Angivillier, Directeur de Bâtiments du Roi, cette version réduite et modifiée.
Francesco MARMITTA. Connu à Parme entre 1496 et 1504. La vierge et l'enfant entourés de saint Benoît et saint Quentin, et deux anges, vers 1500-1505. Le tableau provient de léglise des Augustins de San Quintino de Parme où il est cité en 1725. Cetta pala, la seule conservée de Marmitta, par ailleurs mieux connu pour sont activité de miniaturiste, suit le modèle des Saintes Conversations.
Eugène DELACROIX. Charenton-Saint-Maurice, 1798 - Paris, 1863. Noce juive dans le Maroc, 1839? Le voyage réalisé par Delacroix en 1832 marqua profondément son art. A tanger, le 21 février, il assista à une noce juive, décrite avec précision dans son journal, et dont il se souvient ici. La mariée est enfermée dans ses appartements, tandis qu'on se réjouit dans le reste de la maison..
Louis-Léopild BOILLY. La Bassée (Nord), 1761 - Paris, 1845. L'arrivé d'une diligence dans la cours des Messageries, 1803.
Luis-Léopold BOILLY. La Bassée (Nord), 1761 - Paris, 1845. Réunion d'artistes dans l'atelier d'Isabey, Salon 1798.
Anne-Xavier LEPRINCE. Paris, 1799 - Nice, 1826. Embarquement de bestiaux sur le "Passager" dans le port de Honfleur, 1823.
Jean-François de TRYE. L'Evanouissement d'Esther, 1737. C'est en cherchant à intervenir auprès d'Assuérus pour sauver les juifs de l'extermination qu'Esther, enfreignant l'interdiction de pénétrer dans le palais sans autorisation, s'évanouit. Le roi pose son sceptre sur le cou de son épouse en signe d'absolution (Additions au Livre d'Esther, XV).